L’université Omar Bongo, l’École normale supérieure et l’École normale supérieure d’Enseignement Technique qui font actuellement l’objet des travaux de réhabilitation seront livrées le 12 juin prochain.

Les ouvrages à livrer concernent la première phase des travaux de réhabilitation de l’université Omar Bongo où sept amphithéâtres ont été remis aux normes, l’École normale supérieure (ENS) bénéficiant de la réfection d’un bâtiment polyvalent et l’École normale supérieure d’Enseignement Technique (ENSET)  dont l’atelier mécanique a bénéficié d’un lifting.

 Selon le communiqué émanant des services du ministère de l’enseignement supérieur et de  la recherche scientifique, ces ouvrages  vont permettre d’accueillir les nouveaux bacheliers dans des meilleures conditions. Leur calendrier d’inscription au sein de ses établissements d’enseignement supérieur ayant d’ailleurs été dévoilé. 

Ce programme indique que les nouveaux bacheliers ayant été orientés dans le département des Lettres et des sciences humaines et le département de Droit et sciences économiques de l’université Omar Bongo commencent leurs inscriptions le 12 avril. Le dispositif de ces inscriptions sera précisé par les autorités académiques.

Pour ce qui est l’USTM, le communiqué rapporte que les inscriptions au sein de cette Université située dans le haut Ogooué ont commencé le 29 mars et se poursuivent jusqu’à la fin du mois en cours. Les étudiants non inscrits sont invités à respecter l’échéance arrêtée. 

S’agissant des bacheliers orientés à l’ENS et à l’ENSET dans les filières de formation professionnalisante autres que les métiers de l’enseignement, des dispositions particulières sont prises pour permettre leurs inscriptions dès ce 7 avril. 

À noté par ailleurs que la commission technique dédiée à l’examen des dossiers des bacheliers orientés vers les programmes de formation et d’insertion à l’Office Nationale de l’Emploi rendra ses résultats à partir du 15 avril en vue du lancement effectif dudit programme.

Pour les nouveaux bacheliers orientés dans les établissements privés d’enseignement supérieur, l’Etat s’engage à accompagner raisonnablement ces étudiants.

A.O