Chaque 8 juin de chaque année, la communauté mondiale célèbre la journée mondiale de l’environnement. Pour cette année 2021, les organisateurs ont voulu mettre l’accent sur la restauration des Écosystèmes à travers le monde.

La tâche est grande, mais pas impossible si et seulement si, les peuplements du monde pouvaient tous ensemble prendre conscience des enjeux environnementaux, on pourrait observer un changement quant à la revitalisation de nos écosystèmes à travers le monde.

Au Gabon, cette célébration n’est pas passée inaperçue et a suscité quelques réactions allant de la simple déclaration, au geste de restauration.

Pour la première des centrales syndicales gabonaises, COSYGA, cette journée mondiale revêt un caractère particulier et il est notamment question pour la centrale d’encourager toutes les actions visant à une meilleure sauvegarde des écosystèmes aussi bien en milieu naturel que marin.

D’ailleurs, on ne peut occulter le fait que la COSYGA et son premier responsable, Philippe  DJOULA, étaient ce samedi dernier au Cap  Estérias, où il était aussi question, au-delà d’un échange à plusieurs niveaux de son organisation, de s’enquérir de l’influence des hommes sur l’écosystème marin avec à la clé quelques conseils pratiques aux habitants de cette zone, pour une meilleure sauvegarde de la côte.

Car il faut le dire, la COSYGA possède en son sein un comité chargé des questions maritimes et portuaires. Ce qui relève de la sécurité et sûreté maritime, un domaine où excelle justement le Secrétaire Général de la COSYGA  en sa qualité de formateur des formateurs sur cette question.

Une chance également pour la célébration de cette journée mondiale sur les écosystèmes au Gabon, puisque les étudiants de l’Université Omar Bongo se sont mêlés à cet événement à travers toute une manifestation, qui les a conduites à planter tout un arbre selon le slogan « un étudiant, un arbre ».

Du reste, quelque soit sa thématique, cette journée mondiale de l’environnement devrait tous nous interpeller à faire mieux au profit de notre environnement à l’instar de la COSYGA ou des étudiant de l’UOB, qui ont voulu que cette journée ne passe pas inaperçue au Gabon.

Alain Mbinah