New York, 22 septembre 2025. Le Président de la Transition du Gabon, Brice Clotaire Oligui Nguema, a pris part ce lundi à l’ouverture du débat général de la 80ᵉ session de l’Assemblée Générale des Nations Unies, en présence de nombreux Chefs d’État, de Gouvernement et de hauts responsables internationaux.
Placée sous le thème « Mieux ensemble : plus de 80 ans au service de la paix, du développement et des droits humains », cette session marque un tournant dans l’histoire de l’ONU. Elle constitue une occasion de dresser le bilan des réalisations de l’Organisation depuis sa création en 1945 et d’esquisser les réponses collectives face aux défis actuels, allant des conflits armés aux crises climatiques et économiques.
Dans son allocution d’ouverture, le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a rappelé que l’ONU demeure « la boussole morale » de la communauté internationale. Insistant sur la nécessité d’un sursaut collectif, il a exhorté les États membres à renforcer le multilatéralisme et à réaffirmer la primauté du droit international, face à des menaces désormais « sans frontières ».
Le Chef de l’État gabonais, par sa présence à ces assises, illustre la volonté du Gabon de demeurer un acteur actif et constructif au sein des instances internationales. Cette participation traduit un double engagement : consolider la place du Gabon dans le concert des nations et défendre les valeurs universelles de paix, de solidarité et de respect des droits humains.
Au-delà du symbole, la démarche du Président Oligui Nguema reflète également une diplomatie tournée vers l’avenir. Dans un monde marqué par des tensions géopolitiques accrues et des incertitudes économiques persistantes, il s’agit pour le Gabon de réaffirmer son attachement à un multilatéralisme efficace et à une coopération internationale renforcée, notamment avec les États-Unis et l’ensemble des partenaires stratégiques.
Ainsi, la participation du Gabon à cette 80ᵉ session de l’Assemblée Générale de l’ONU s’inscrit dans une dynamique de continuité : contribuer, avec d’autres nations, à la construction d’un monde plus juste, plus sûr et profondément humain.
Justin Mbatchi
